Revue de presse
Vous retrouverez ici les interventions et décryptages dans la presse de Clémentine Baldon, régulièrement interviewée sur les aspects juridiques du changement climatique et plus largement des problématiques environnementales.
Extrait : « I querelanti affermano che il “Trattato sulla Carta dell’energia” ostacola l’azione per il clima e mina le loro tutele ai sensi della Convenzione europea dei diritti dell’uomo. Clémentine Baldon, un avvocato che li rappresenta, ha dichiarato in una e-mail che sperano che una sentenza a loro favore incoraggi i governi a uscire dall’accordo. È solo l’ultimo sforzo basato sui diritti per portare in tribunale chi non fa niente per il clima.
“È probabile che le controversie sul clima relative ai diritti umani continueranno ad aumentare”, ha affermato Baldon, in particolare se la Corte europea dei diritti umani si pronuncia a favore dei querelanti in questioni pendenti come il “caso delle nonne svizzere”.
Le “nonne svizzere” sono un gruppo di donne (età minima: 64 anni) che nel 2020 ha risalito il Reno per presentare una denuncia al tribunale di Strasburgo in cui si afferma che il governo svizzero non è riuscito a proteggere la loro salute a causa del peggioramento delle ondate di caldo dovute ai cambiamenti climatici .
Un altro caso citato da Baldon, depositato presso lo stesso tribunale nel 2020, sostiene che 33 Paesi non stanno proteggendo i diritti dei giovani in Portogallo alla salute e al benessere non limitando in modo sufficiente le emissioni (Baldon ha rappresentato un altro attore nel “Caso del secolo ” in Francia, che lo scorso anno ha ritenuto responsabile il governo di quel Paese per aver mancato i suoi obiettivi climatici). »
Pour lire l’article en intégralité (en italien) : Clima e violazione dei diritti umani
Dans cette interview au media Brut, Clémentine Baldon explique les risques que fait peser le Traité sur la Charte de l’Energie sur la transition écologique et énergétique, ainsi que les raisons du recours engagé par cins jeunes Européens qu’elle représente à l’encontre de douze Etats signataires de ce Traité.
“Ce sont les mesures climatiques qui sont les plus attaquées. Les Pays-bas, dès l’annonce de la fermeture des mines de charbon d’ici à 2030, se sont par exemple fait attaquer par deux entreprises allemandes qui demandent plus d’un milliard chacune en indemnisation” explique Clémentine Baldon, avocate pour l’environnement. “Cinq jeunes militants européens ont décidé d’initier une action devant la Cour européenne des droits de l’homme contre une douzaine d’États européens qui font partie du Traité de la charte de l’énergie” ajoute l’avocate.
Pour écouter l’interview dans son intégralité : TCE, ce traité controversé qui « protège les énergies fossiles »
Extrait : « Sie möchte ein Zeichen setzen und die Aufmerksamkeit der Menschen auf das Klima-Thema lenken, auch falls ihre Klage vor dem EGMR keinen Erfolg haben sollte. Laut Julia wird ihre Klage von der französischen Anwältin Clémentine Baldon geführt und vom Veblen Institut in Paris unterstützt. Mitgewirkt hat demnach auch das Global Legal Action Network (GLAN)”.
Pour lire l’article en intégralité (en allemand) : Klimapolitik: Darum klagt Julia aus dem Ahrtal auch gegen Deutschland
Extrait : « De concert avec les militants écologistes, les cinq jeunes Européens jugent ce traité international « dangereux » car « incompatible avec les Accords de Paris qui visent à maintenir le réchauffement climatique en dessous des 1,5 °C. » Pour eux, le TCE autorise les multinationales à hacker les politiques écologiques, le maintien de ce traité menace donc directement leur avenir. C’est à ce titre qu’il constitue une violation de la Convention européenne des droits de l’homme, défend leur avocate Clémentine Baldon .”
Pour lire l’article en intégralité : Cinq jeunes Européens assignent des Etats en justice pour la signature d’un traité jugé climaticide
Extrait: « En substance, les plaignants demandent à la Cour, pour protéger leurs droits, de contraindre les Etats visés à sortir de ce traité ou à le réformer en profondeur. Selon Clémentine Baldon, leur avocate au barreau de Paris, ce traité est incompatible avec les engagements internationaux en matière de climat pris dans le cadre de l’Accord de Paris et viole les obligations des Etats au titre de la Convention européenne des droits de l’homme ».
Pour lire l’article en intégralité : Cinq jeunes attaquent en justice un traité méconnu dangereux pour le climat
Extrait : “(…) Pour elles, l’objectif est atteint car la responsabilité de l’Etat dans la crise climatique éclate au grand jour et ne peut plus être niée. « On s’y attendait un petit peu, mais de le voir écrit noir sur blanc c’est une très grande émotion », se réjouit Clémentine Baldon, l’une des avocates des ONG (…)”.
Pour lire l’article en intégralité : Affaire du Siècle : l’État condamné pour inaction climatique
Extrait : « “In 2018, a fire happened 18 km from my home (in Mati) and killed 103 people,” he recalls. “We are under constant threat and uncertainty about our future. I feel stressed. Whenever I see pine trees under the sun, I get scared of a fire,” said Alexandros.
Their lawyer, Clémentine Baldon, says the ECT has exposed governments to substantial financial risks when taking climate action »
Pour lire l’article en intégralité (en anglais) : Youths sue European states over treaty protecting fossil fuels
Extrait : « Selon le professeur de droit, la coalition d’ONG devrait réussir à imposer à la Commission européenne une révision interne de ses politiques en matière de bioénergies, « mais il reste impossible, d’une manière générale, de contester ses décisions législatives [au tribunal]. »
Clémentine Baldon, avocate au sein du cabinet parisien Baldon, qui travaille conjointement sur l’affaire, a rapporté à Mongabay qu’elle ne partageait pas le point de vue de Ole Windahl Pedersen sur les chances de révisions du règlement Aarhus. Elle estime qu’il existe des moyens de « contourner les conditions excessivement restrictives pour mener l’affaire devant [le tribunal] », et elle va poursuivre l’UE sur la base des précédentes dépositions”.
Pour lire l’article en intégralité : Des militants déterminés à poursuivre l’UE en justice pour ses directives sur la biomasse forestière
Extrait : « As the European Commission pushes forward with new rules on so-called “sustainable” finance for bioenergy and forestry, a coalition of non-governmental organizations from across the EU– supported by partners in the UK and USA–are challenging the Commission’s actions as unscientific and in clear violation of the underpinning Taxonomy Regulation enacted by Parliament.
Elsie Blackshaw-Crosby of NGO the Lifescape Project, a convener and co-author of the legal challenge, said, “Rather than giving investors assurance that their investments are genuinely ‘green’ and environmentally friendly, the Taxonomy has turned into a big greenwashing exercise. We believe that the criteria adopted for bioenergy and forestry are unlawful and we’re holding the EU to account.”
The challenge is brought by NGOs Save Estonia’s Forests, ROBIN WOOD (Germany), Clean Air Committee (Netherlands), Workshop for All Beings (Poland), ZERO (Portugal), 2Celsius (Romania), and Protect the Forest (Sweden). Two legal teams, Clementine Baldon of Baldon Advocats and Peter Lockley and Ben Mitchell of 11KBW spearheaded the case, with legal and scientific support by the Lifescape Project and the Partnership for Policy Integrity. An additional 50 NGOs signed an open letter to the EC declaring their support for the review and challenge ».
Pour lire l’article en intégralité : Environmental Coalition Challenges Sweeping EU Finance Policy, Seeking to Block Investment in Bioenergy & Unsustainable Forestry
C’est une décision inédite par laquelle le Tribunal administratif donne raison aux ONG qui l’ont saisi et tranche sans ambigüité : l’État devra réparer le préjudice écologique dont il est responsable. Il s’agit d’une belle victoire pour le mouvement mondial de justice climatique et d’un jalon essentiel pour de potentiels prochains recours.
Pour lire l’article en intégralité : Affaire du Siècle : l’État condamné pour son inaction climatique
Extrait : « Fue precisamente esta tibieza en sus objetivos la que motivó que en diciembre de 2018 el colectivo de asociaciones francesas conocido como “El caso del siglo” sentase en el banquillo al Estado francés. Como nos explica Clémentine Baldon, una de las abogadas que ha defendido la causa ciudadana en el juicio, “el derecho francés permite a las organizaciones civiles denunciar al Estado cuando consideran que su inactividad ha entrañado daños”. El tribunal reconoció en febrero de 2021 que el Estado no había respetado sus compromisos a nivel nacional ni internacional para reducir las emisiones de efecto invernadero lo que ha contribuido al calentamiento global. Como explica Baldon, “el tribunal consideró que se trata de un daño o perjuicio ecológico, una noción jurídica introducida en el derecho francés hace cinco años y que permite a las organizaciones ecologistas obtener por vía judicial la reparación directa de la naturaleza”. En España se habla más de daño ambiental, regulado en la Ley de Responsabilidad Ambiental. Sin embargo, nuestro ordenamiento jurídico no permite que reproduzca una condena por responsabilidad como ha ocurrido en Francia, aunque se llegue a condenar al gobierno por inactividad climática ».
Pour lire l’article en intégralité (en espagnol) : « El gobierno francés, culpable del cambio climático »
Extrait : “ (…) « Ce jugement est important, reconnaît sur Twitter l’avocat et professeur de droit Arnaud Gossement. C’est la première fois qu’est admise par un juge administratif la faute (carence) de l’État pour n’avoir pas tenu ses engagements en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre ». « C’est la première fois que le préjudice écologique est reconnu devant la justice administrative », se félicite par ailleurs Clémentine Baldon (…)”.
Pour lire l’article en intégralité : Dénouement dans l’Affaire du Siècle : le juge impose la réparation du préjudice écologique