Revue de presse
Vous retrouverez ici les interventions et décryptages dans la presse de Clémentine Baldon, régulièrement interviewée sur les aspects juridiques des problématiques environnementales.
Extrait : La cour d’appel de Paris vient de juger recevables les poursuites engagées en 2021, par l’association de consommateurs CLCV et l’ONG CCFD Terre solidaire. Selon les deux organismes, la communication de Nespresso peut “induire les consommateurs en erreur sur l’impact environnemental et humain réel de [leurs] capsules“. Ils poursuivent la marque pour pratiques commerciales trompeuses.
L’entreprise a tenté d’invalider la procédure, en invoquant un délai de prescription de cinq ans. Comme elle assure utiliser ces
arguments marketing depuis avril 2016, les associations auraient dû engager les poursuites quelques mois plus tôt, a-t-elle
argumenté. Une défense qui avait convaincu le tribunal de première instance, mais pas la cour d’appel. “Nespresso a lancé une campagne de communication d’ampleur sur la neutralité carbone et la recyclabilité des capsules en 2020. La cour a donc retenu cette date comme point de départ du délai de prescription“, se félicite maître Clémentine Baldon, avocate des deux associations.
Pour lire l’article en intégralité : Greenwashing : le procès de Nespresso aura bien lieu
En vert et contre tout. Depuis plusieurs années, le vert a envahi la communication des marques, pour le meilleur et pour le pire. Le média en ligne Vert ! publie un guide pour distinguer celles qui s’engagent de celles qui s’arrangent avec la réalité.
“Juridiquement, le greenwashing s’analyse comme une pratique commerciale trompeuse. L’allégation commerciale doit être fausse ou induire le consommateur en erreur“, explique Clémentine Baldon, avocate spécialisée sur le sujet.
Chiffres manipulés, labels douteux, “compensation” hypothétique… Adrien Sénécat, journaliste de l’équipe des Décodeurs du Monde fait le point sur comment distinguer le vrai du faux dans les promesses des marques.
“Les communicants sont créatifs : quand il y a de la contrainte, ils trouvent souvent des solutions pour la contourner“, analyse Clémentine Baldon, avocate spécialiste des contentieux environnementaux.
Pour limiter le réchauffement climatique, nous sommes en train de multiplier l’extraction minière dans le monde. Avec le quotidien Süddeutsche Zeitung, les radiotélévisions allemandes ND Ret WDR et le journal marocain Hawamich, Reporterre a enquêté sur la mine de Bou Azzer, censée fournir BMW et bientôt Renault en cobalt responsable.
Clémentine Baldon intervient dans cette émission phare de France Inter aux côtés de la journaliste Célia Izoard, qui a enquêté sur place, et du syndicaliste marocain Hamid Majdi.
INTERVIEW. A la suite de l’audience de l’affaire des 6 jeunes Portugais devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) reprochant à 32 Etats sur leur inaction climatique, dans cette interview donnée au journal Le Point, Clémentine Baldon revient en détail sur les batailles qui se déroulent devant la CEDH au sujet de la protection des générations futures.
Ce documentaire d’ARTE analyse plusieurs “procès climatiques” en Europe dont l’action en justice lancée par 5 jeunes, représentés par Baldon Avocats, contre le Traité de la Charte de l’Énergie devant la Cour européenne des droits de l’homme.
Le documentaire décrypte aussi un procès contre Volkswagen en Allemagne et les actions climatiques des “aînées” suisses et de Damien Carême (ex- maire de Grande Synthe) devant la CEDH.
Disponible en replay sur https://www.youtube.com/watch?v=wZ931x130rQ ou https://www.arte.tv/fr/videos/108647-000-A/proces-climatiques
Extrait : « I querelanti affermano che il “Trattato sulla Carta dell’energia” ostacola l’azione per il clima e mina le loro tutele ai sensi della Convenzione europea dei diritti dell’uomo. Clémentine Baldon, un avvocato che li rappresenta, ha dichiarato in una e-mail che sperano che una sentenza a loro favore incoraggi i governi a uscire dall’accordo. È solo l’ultimo sforzo basato sui diritti per portare in tribunale chi non fa niente per il clima.
“È probabile che le controversie sul clima relative ai diritti umani continueranno ad aumentare”, ha affermato Baldon, in particolare se la Corte europea dei diritti umani si pronuncia a favore dei querelanti in questioni pendenti come il “caso delle nonne svizzere”.
Le “nonne svizzere” sono un gruppo di donne (età minima: 64 anni) che nel 2020 ha risalito il Reno per presentare una denuncia al tribunale di Strasburgo in cui si afferma che il governo svizzero non è riuscito a proteggere la loro salute a causa del peggioramento delle ondate di caldo dovute ai cambiamenti climatici .
Un altro caso citato da Baldon, depositato presso lo stesso tribunale nel 2020, sostiene che 33 Paesi non stanno proteggendo i diritti dei giovani in Portogallo alla salute e al benessere non limitando in modo sufficiente le emissioni (Baldon ha rappresentato un altro attore nel “Caso del secolo ” in Francia, che lo scorso anno ha ritenuto responsabile il governo di quel Paese per aver mancato i suoi obiettivi climatici). »
Pour lire l’article en intégralité (en italien) : Clima e violazione dei diritti umani
Julia a vécu de près les inondations catastrophiques de la rivière Ahr. Des événements météorologiques extrêmes comme celui-ci ont poussé la jeune femme à porter plainte avec d’autres activistes devant la Cour européenne des droits de l’homme pour que les objectifs de protection du climat soient respectés. Clémentine Baldon présente les enjeux juridiques de ce recours.
Pour visionner le reportage en intégralité (en allemand) : Klimaaktivist*innen klagen auf Einhaltung von Klimaschutz-Zielen
Dans cette interview au media Brut, Clémentine Baldon explique les risques que fait peser le Traité sur la Charte de l’Energie sur la transition écologique et énergétique, ainsi que les raisons du recours engagé par cinq jeunes Européens qu’elle représente à l’encontre de douze Etats signataires de ce Traité.
“Ce sont les mesures climatiques qui sont les plus attaquées. Les Pays-bas, dès l’annonce de la fermeture des mines de charbon d’ici à 2030, se sont par exemple fait attaquer par deux entreprises allemandes qui demandent plus d’un milliard chacune en indemnisation” explique Clémentine Baldon, avocate pour l’environnement. “Cinq jeunes militants européens ont décidé d’initier une action devant la Cour européenne des droits de l’homme contre une douzaine d’États européens qui font partie du Traité de la charte de l’énergie” ajoute l’avocate.
Pour voir la vidéo dans son intégralité : TCE, ce traité controversé qui “protège les énergies fossiles”
Extrait : « Sie möchte ein Zeichen setzen und die Aufmerksamkeit der Menschen auf das Klima-Thema lenken, auch falls ihre Klage vor dem EGMR keinen Erfolg haben sollte. Laut Julia wird ihre Klage von der französischen Anwältin Clémentine Baldon geführt und vom Veblen Institut in Paris unterstützt. Mitgewirkt hat demnach auch das Global Legal Action Network (GLAN)”.
Pour lire l’article en intégralité (en allemand) : Klimapolitik: Darum klagt Julia aus dem Ahrtal auch gegen Deutschland
Extrait : « De concert avec les militants écologistes, les cinq jeunes Européens jugent ce traité international « dangereux » car « incompatible avec les Accords de Paris qui visent à maintenir le réchauffement climatique en dessous des 1,5 °C. » Pour eux, le TCE autorise les multinationales à hacker les politiques écologiques, le maintien de ce traité menace donc directement leur avenir. C’est à ce titre qu’il constitue une violation de la Convention européenne des droits de l’homme, défend leur avocate Clémentine Baldon .”
Pour lire l’article en intégralité : Cinq jeunes Européens assignent des Etats en justice pour la signature d’un traité jugé climaticide
Dans cette interview au media Brut, Clémentine Baldon explique les risques que fait peser le Traité sur la Charte de l’Energie sur la transition écologique et énergétique, ainsi que les raisons du recours engagé par cins jeunes Européens qu’elle représente à l’encontre de douze Etats signataires de ce Traité.
“Ce sont les mesures climatiques qui sont les plus attaquées. Les Pays-bas, dès l’annonce de la fermeture des mines de charbon d’ici à 2030, se sont par exemple fait attaquer par deux entreprises allemandes qui demandent plus d’un milliard chacune en indemnisation” explique Clémentine Baldon, avocate pour l’environnement. “Cinq jeunes militants européens ont décidé d’initier une action devant la Cour européenne des droits de l’homme contre une douzaine d’États européens qui font partie du Traité de la charte de l’énergie” ajoute l’avocate.
Pour écouter l’interview dans son intégralité : TCE, ce traité controversé qui “protège les énergies fossiles”